CASSANDRE COLAS
CASSANDRE COLAS
︎WORKS.
︎Huis-clos
︎Mes souvenirs ont perdu la mémoire
︎Déambulations
︎La phrases urbaine
︎À cet heure-ci
︎Exergue
︎De temps en temps, j’écris
︎Sucré-salé
︎La queue de l’animal
︎La butée
︎Évidemment Évidem ent
︎Laboratoire
︎Bruimatexte
Work In Progress
︎Le Silence des sirènes
︎︎︎
La Phrase Urbaine
Novembre 2018 à Janvier 2019
Ce projet photographique est composé de onze images argentiques et numériques qui ont été réalisées sur trois territoires : le Viêt Nam, le Laos et le
Cambodge entre novembre 2018 et janvier 2019. C’est un projet qui s’inscrit dans la continuité de mes problématiques théoriques et artistiques,
antérieurement réalisées en France et en Europe. De surcroît, l’histoire plurielle de ces 3 pays et leur récente expansion m’ont inspirée pour ce projet.
Cet ensemble se développe autour de deux genres classiques : le portrait et le paysage que je m’approprie en mêlant la figure individuelle des corps et la trace humaine dans des espaces collectifs urbains et périurbains.
Je me suis concentrée principalement sur les espaces au revers des villes et au revers des lieux dits « touristiques » (Angkor, la Baie d’Halong ou encore Dalat). Je me suis installée en décalage avec la proposition initiale de ces lieux. Je n’ai cessé d’interroger et de découvrir ma position dans cette expérience et tout au long de ce projet.
Par ailleurs, dans mes images, je ne donne pas accès à la localisation précise de ces espaces.
Cet ensemble se développe autour de deux genres classiques : le portrait et le paysage que je m’approprie en mêlant la figure individuelle des corps et la trace humaine dans des espaces collectifs urbains et périurbains.
Je me suis concentrée principalement sur les espaces au revers des villes et au revers des lieux dits « touristiques » (Angkor, la Baie d’Halong ou encore Dalat). Je me suis installée en décalage avec la proposition initiale de ces lieux. Je n’ai cessé d’interroger et de découvrir ma position dans cette expérience et tout au long de ce projet.
Par ailleurs, dans mes images, je ne donne pas accès à la localisation précise de ces espaces.
Mes images semblent bloquées entre futur et passé, vie et vide, proche et lointain, tradition et expansion. C’est dans l’opposition que ces scènes photographiques deviennent complémentaires.
Les corps passent, laissent, retirent ou traversent les espaces. Au verso de l’effervescence, je tente de bloquer ces personnages et ces paysages dans leurs actions passives créant ainsi une unité entre eux et leur contexte socio-culturel. Les formes, les corps, les matières se répètent également.
Chaque image ajoute un nouveau contexte, un nouveau récit, un nouvel engagement tout en créant une discussion cohérente les unes entre les autres.
Les corps passent, laissent, retirent ou traversent les espaces. Au verso de l’effervescence, je tente de bloquer ces personnages et ces paysages dans leurs actions passives créant ainsi une unité entre eux et leur contexte socio-culturel. Les formes, les corps, les matières se répètent également.
Chaque image ajoute un nouveau contexte, un nouveau récit, un nouvel engagement tout en créant une discussion cohérente les unes entre les autres.