︎ WORKS
Huis clos (Seuil, Story Board, Méandre, Impasse, Espace sourd) • Exergue • De temps en temps, j’écris • Déambulations (Clepsydre, Untitled, La descente, Occurens, Dans ton oeil) • La phrase urbaine • À sept heure-ci • La butée • Sucré-Salé • Laboratoire • Bruimatexte • Évidement Évidemment • L’écume des baleines • À personne • Killing Caves • La queue de l’animal • Dédale
︎ WIP
Le silence des sirènes • Sayyida al-Hurra
︎ ABOUT
Publications • Expositions (Zéro de tension, Attention particulière, Dédale, Il n’y a pas de perdant·es, il y a que des gagnant·es)
« Dans ma pratique artistique je capte des espaces de vies urbaines et interroge de façon obsessionnelle la manière dont nos corps habitent, traversent ou perçoivent ces lieux de transition, tiraillés entre fascination et répulsion.
Cette alchimie corps-espaces évoluent en fonction de nos identités, d’un contexte social, d’une potentielle de mise en relation, d’une projection qui devient alors sujet de mes recherches tant plastique que théorique.
L’intrasèquement lien de l’intime et du commun. La quête de l’image manquante, du trop plein, du trop vide. La fascination du reste, du manque. À travers surtout la photographie et l’écriture (ainsi d’autres médiums) je m’amuse à expérimenter cette ambiguïté de l’évidement.»
EXPOSITION
IL N’Y A PAS DE PERDANT.E.S, IL Y A QUE DES GAGNANT.E.S, été 2023. Arles
EXPOSITION
IL N’Y A PAS DE PERDANT.E.S, IL Y A QUE DES GAGNANT.E.S, été 2023. Arles
Atelier des serpents
Projet collectif d’exposition avec les artiste : Elorah Connil, Margot Millet, Emilie Maricq, Valia Russo & Gwenole le Gal. Pendant quelques mois, nous avons partagé un atelier d’artsite avec les personnes cité ci-dessus.
Lors des Recontres de la photographie nous avons pu organiser une exposition/happening sur le temps d’une soirée.
L’atelier regardé comme un espace partagé de création, se révèle aussi comme un espace de friction, d’accumulation d’objets et de projets croisés, de brouillons, de gestes en train de se faire, de travaux déjà fait ou d’illusion réinventée.
À la fois grand.es gagnant.es du système universaitaire et grand.es perdant.es du marché de l’art, les six artistes plusieurs fois diplômé.es ouvrent leur porte pour une soirée dans une ville en pleine effervescence, entre saturation de mises en scènes artistiques et opportunité mal placée. Dans une volonté de mise à nu et avec une certaine désillusion, 100 lots directement issus de l’atelier sont mis en gain, au travers d’une forme tombolesque, où la gratte est immanquablement gaganante.
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︎ English Version
Collective exhibition project with the artists: Elorah Connil, Margot Millet, Emilie Maricq, Valia Russo & Gwenole le Gal. For several months, we shared an artsite workshop with the above-mentioned artists. During the Recontres de la photographie, we were able to organise an exhibition/happening over the course of an evening.
The workshop, seen as a shared space for creation, also reveals itself as a space of friction, of accumulation of objects and crossed projects, of drafts, of gestures in the making, of work already done or illusion reinvented.
At once big winners in the university system and big losers in the art market, the six artists, many of them graduates, are opening their doors for an evening in a bustling city, between a saturation of artistic presentations and misplaced opportunity. In a bid to expose their work, and with a certain disillusionment, 100 lots taken directly from the studio are put up for grabs, in a tomboyish form where the scratch is inevitably gagging.
Lors des Recontres de la photographie nous avons pu organiser une exposition/happening sur le temps d’une soirée.
L’atelier regardé comme un espace partagé de création, se révèle aussi comme un espace de friction, d’accumulation d’objets et de projets croisés, de brouillons, de gestes en train de se faire, de travaux déjà fait ou d’illusion réinventée.
À la fois grand.es gagnant.es du système universaitaire et grand.es perdant.es du marché de l’art, les six artistes plusieurs fois diplômé.es ouvrent leur porte pour une soirée dans une ville en pleine effervescence, entre saturation de mises en scènes artistiques et opportunité mal placée. Dans une volonté de mise à nu et avec une certaine désillusion, 100 lots directement issus de l’atelier sont mis en gain, au travers d’une forme tombolesque, où la gratte est immanquablement gaganante.
︎ English Version
Collective exhibition project with the artists: Elorah Connil, Margot Millet, Emilie Maricq, Valia Russo & Gwenole le Gal. For several months, we shared an artsite workshop with the above-mentioned artists. During the Recontres de la photographie, we were able to organise an exhibition/happening over the course of an evening.
The workshop, seen as a shared space for creation, also reveals itself as a space of friction, of accumulation of objects and crossed projects, of drafts, of gestures in the making, of work already done or illusion reinvented.
At once big winners in the university system and big losers in the art market, the six artists, many of them graduates, are opening their doors for an evening in a bustling city, between a saturation of artistic presentations and misplaced opportunity. In a bid to expose their work, and with a certain disillusionment, 100 lots taken directly from the studio are put up for grabs, in a tomboyish form where the scratch is inevitably gagging.
EXPOSITIONS
︎
ZÉRO DE TENSION, Le Festival 9ph, septembre 2023. Lyon︎
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︎ IL N’Y A PAS DE PERDANT.E.S, IL Y A QUE DES GAGNANT.E.S, été 2023. Arles ︎
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︎ UNE ATTENTION PARTICULIÈRE, Les Rencontres de la photographie de Arles, 2022 ︎
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LES WIP des étudiant.e.s, Les Rencontres de la photographie de Arles, 2022. Le Printemps ︎
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FRINGALES, l’été indien, automne 2021 ︎
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LES WIP des étudiant.e.s, Les Rencontres de la photographie de Arles, 2021. Le Printemps ︎
KILLING CAVES
2019
Montage photographique, tirage 280x110cm, jet d’encre
Ce montage photographique a été réalisé dans la ville de Battambang au Cambodge. Dans cette ville, se trouve une grotte nommée « Killing Caves », utilisé durant le génocide de 1975 pour abattre de nombreux Cambodgiens. Aujourd’hui, il fait partie des sites touristiques mettant en avant les traces invisibles de ce crime de masse. Cette image fait partie d’une série d’images où je traite l’idée de la lacune à travers le motif et l’ombre. On peut voir sur cette image des enfants dirigeants des touristes dans ces caves contre un peu de monnaie.
︎English Version
Photographic montage, 280x110cm off print
This montage photograph was taken in the town of Battambang in Cambodia. The town is home to a cave known as the 'Killing Caves', used during the genocide of 1975 to slaughter many Cambodians. Today, it is one of the tourist sites highlighting the invisible traces of this mass crime. This image is part of a series in which I explore the idea of the gap through pattern and shadow. The image shows children leading tourists into these cellars in exchange for a little change.
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Montage photographique, tirage 280x110cm, jet d’encre
Ce montage photographique a été réalisé dans la ville de Battambang au Cambodge. Dans cette ville, se trouve une grotte nommée « Killing Caves », utilisé durant le génocide de 1975 pour abattre de nombreux Cambodgiens. Aujourd’hui, il fait partie des sites touristiques mettant en avant les traces invisibles de ce crime de masse. Cette image fait partie d’une série d’images où je traite l’idée de la lacune à travers le motif et l’ombre. On peut voir sur cette image des enfants dirigeants des touristes dans ces caves contre un peu de monnaie.
︎English Version
Photographic montage, 280x110cm off print
This montage photograph was taken in the town of Battambang in Cambodia. The town is home to a cave known as the 'Killing Caves', used during the genocide of 1975 to slaughter many Cambodians. Today, it is one of the tourist sites highlighting the invisible traces of this mass crime. This image is part of a series in which I explore the idea of the gap through pattern and shadow. The image shows children leading tourists into these cellars in exchange for a little change.
STORY BOARD
STORY BOARD
Encadré 30x40cm, taille 6x4cm.2021
Ces six dessins sont une recherche graphique, optique sur l’espace du tunnel. J’y travaille l’ombre et la lumière qui traverse cet espace. Une forme d’abstraction qui devient un motif, un objet. Ces dessins sont fait in-situ.
︎ English version
These six drawings are a graphic and optical exploration of the space of the tunnel, in which I work with the light and shadow that cross this space. A form of abstraction that becomes a motif, an object. These drawings are made in situ.
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︎ English version
These six drawings are a graphic and optical exploration of the space of the tunnel, in which I work with the light and shadow that cross this space. A form of abstraction that becomes a motif, an object. These drawings are made in situ.
BIO
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Née le 26 juillet 1995, Cassandre Colas grandit en banlieue parisienne, elle vit actuellement sur Arles. Elle entre en 2015 à l’École Nationale Supérieure des Beaux-arts de Lyon, elle développe sa pratique autour de divers projets. Elle obtient avec les félicitations du jury son DNA en 2018. En 2018-2019, elle sort du système scolaire et décide de faire une année de transition avant de poursuivre en Master. Durant cette année, elle part en voyage en Asie du Sud-est ou elle développera des projets avec divers acteurs locaux. Elle poursuit actuellement ses études en Master à l’École Nationale Supérieure de la photographie d’Arles. Elle y développe un travail multidisciplinaire, mêlant texte, vidéo, photographie, dessin, installation toujours en lien avec des espaces qu’elle traverse, habite, critique. Elle tente de questionner la place du corps dans divers espaces. Étant une femme elle se rend compte au fur et à mesure de son travail que cette question est intrinsèque à sa recherche.
PRATIQUE
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Ma pratique artistique est fondée sur l’alchimie entre les corps et l’espace qui les entourent. J’interroge notamment la place du corps dans les villes et la manière dont ceux-ci les habitent, les traverse, les perçoit. Comment ils évoluent dans un envi- ronnement relatif à leur propre contexte social, genre et urbanisme.
Vis entre Marseille, Arles et Paris, disponnible pour projet collectif, conseil artistique, lecture de portfolio.
CONTACT
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︎ colas.cassandre.colas
@gmail.com
︎ @cass__cou
︎ +666575765
ETUDES
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︎ENSBA, École nationale supérieure des Beaux-arts de Lyon, DNA.
2015-2018.
︎ENSP, École nationale supérieure de la photographie d’Arles, DNSEP.
2019-2022.
EXPOSITIONS
︎
︎ Une Attention particulière, Les Rencontres de la photographie, Arles / été 2022
︎ WIP, exposition collective, Les Rencontres de la photographie, Arles / été 2022
︎ Shopping promenade, Les Rencontres de la photographie, Arles / été 2021
︎ Fringale, exposition collective, Été indien, Arles / septembre 2020
︎ WIP, exposition collective, Les Rencontres de la photographie, Arles / été 2020
PUBLICATIONS
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︎Catalogue des Rencontres de la photographie, Arles, 2022.
︎ Publication dans Polka Magasin / Juillet 2021
︎Publication dans Libération / Juin 2021
PROJETS PÉDAGOGIQUES ET COLLECTIFS
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︎ Projet ImagesIN, Octobre 2022 à avril 2023.
︎ Rouvir le monde, Drac PACA, Octobre 2022